1.6.fr.1.0
10 octobre 2004
Historique des versions | ||
---|---|---|
Version 1.6.fr.1.0 | 2004-10-10 | DB, GL, JPG |
Première adaptation française. | ||
Version 1.6 | 2004-04-29 | C^2 |
Ajout de notes sur Knoppix, Syslinux, PPART, QtParted, quelques autres CDROM de secours, ainsi que quelques corrections. (Added Knoppix notes, Syslinux, PPART, QtParted, some other rescue CDs, and made some fixes.) | ||
Version 1.5 | 2003-12-19 | C^2 |
Notes sur Fedora et GRUB. (Fedora and GRUB notes.) | ||
Version 1.4 | 2003-08-17 | C^2 |
Quelques notes sur le gravage des CDROM et rajouts concernant les fichiers à exclure. (Some notes on burning CD-ROMs, and more on files to exclude.) | ||
Version 1.3 | 2003-04-24 | C^2 |
Substitution d'une nouvelle adresse de courrier électronique et d'une URL aux anciennes. (Substituted new email address and URL for old.) | ||
Version 1.2 | 2003-02-12 | C^2 |
Ajout de notes pour Red Hat 8.0, pour le support de FAT32, scission de la première étape des scripts de restauration, ainsi que quelques changements mineurs. Notes sur Amanda. (Added Red Hat 8.0 notes, support for FAT32, split the first stage restore scripts, and other minor changes. Notes on Amanda.) | ||
Version 1.1 | 2002-09-10 | C^2 |
Nouveau code pour prendre en charge les partitions ext3 dans le
fichier make.fdisk ,
ainsi qu'une note sur initrd .
(New code to handle ext3 partitions in make.fdisk ,
and a note on
initrd .)
| ||
Version 1.0 | 2002-07-24 | C^2 |
Désormais, nous utilisons la compression bz2 pour la première étape, disposons de l'option « run time » pour la vérification des blocs défectueux et avons créé un script qui exécute entièrement la première étape. (We now use bz2 compression in the first stage, have the run time option to check for bad blocks, and have a script that runs the entire first stage.) |
Résumé
Imaginez une seconde que votre disque dur vient de se transformer en un palet de hockey hors de prix. Imaginez qu'après un incendie, votre ordinateur ressemble à un sujet que Salvador Dali apprécierait. Et maintenant ?
La restauration complète, que l'on appelle parfois restauration intégrale de système, est un processus consistant à remonter un ordinateur après une panne catastrophique. Pour effectuer une restauration complète, vous devez disposer de sauvegardes complètes, non seulement de vos systèmes de fichiers, mais aussi des informations sur vos partitions, ainsi que sur d'autres données. Ce guide pratique est un tutoriel qui vous montrera pas à pas comment sauvegarder un ordinateur sous Linux pour être en mesure d'effectuer une restauration intégrale de système, et comment effectuer cette restauration intégrale de système. Il comprend des scripts destinés à ces tâches.
Table des matières
Le processus de restauration intégrale de système consiste à : installer le système d'exploitation à partir des disques du produit. installer le logiciel de sauvegarde de façon à pouvoir restaurer vos données. Restaurer vos données. Puis, il vous faudra restaurer les fonctionnalités en vérifiant vos fichiers de configuration, les droits, etc.
Le processus et les scripts décrits dans ce guide pratique sauvegarderont la réinstallation du système d'exploitation. Le processus décrit ici restaurera uniquement les sauvegardes des fichiers de l'ordinateur de production. La restauration vous rétablira votre configuration intacte, vous épargnant des heures de vérification de votre configuration et des données.
Copyright © 2001, 2002, 2003 Charles Curley pour la version originale.
Copyright © 2004 Denis Berhaut, Guillaume Lelarge, Jean-Philippe Guérard pour la version française.
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Nous vous recommandons fortement d'effectuer une sauvegarde de votre système avant une installation importante et d'effectuer des sauvegardes à intervalles réguliers. De plus, nous vous recommandons fortement d'utiliser un ordinateur expérimental dédié lorsque vous mettrez les mains dans le cambouis des matériaux de ce guide pratique, en particulier les scripts.
You are strongly recommended to take a backup of your system before major installation and backups at regular intervals. In addition, you are strongly recommended to use a sacrificial experimental computer when mucking with the material, especially the scripts, in this HOWTO.
Vous pourrez trouver ce document à sa page
d'accueil ou sur le site internet du projet de documentation Linux dans de
nombreux formats. Envoyez vos commentaires à l'adresse
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Ce document provient de deux articles publiés à l'origine dans le Linux Journal. Je tiens à remercier le Linux Journal pour avoir modifié les droits sur ces articles, rendant la rédaction de ce guide pratique possible.
Je remercie particulièrement Joy Y Goodreau pour son excellente mise en forme du guide pratique, et David Palomares pour avoir corrigé l'orthographe du prénom de Salvador Dali.
D'autres remerciements vont à Pasi Oja-Nisula pour avoir corrigé un bogue et fourni des informations sur Knoppix.
Les réactions que vous pourrez faire à ce document sont bienvenues. Sans vos
corrections, suggestions et autres apports, ce document n'existerait pas.
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Tout le monde ne parle pas anglais. Les volontaires sont bienvenus.
Traduction en
français par
Denis Berhaut
<denis POINT berhaut CHEZ free POINT fr>
Relecture par
Guillaume Lelarge
<gleu CHEZ wanadoo POINT fr>
Mettre en œuvre le processus présenté ci-dessous n'est pas facile et peut être dangereux pour vos données. Entraînez-vous avant d'en avoir besoin ! Faites comme moi et utilisez un ordinateur sacrifié d'avance. !
Dans ce guide pratique, l'ordinateur cible est un Pentium. À l'origine, la version de Red Hat 7.1 Linux serveur ou poste de travail était installée sur un disque dur IDE. Depuis, il a été mis à jour vers la Red Hat 8.0 et Fedora Core 1. L'ordinateur cible ne contient pas beaucoup de données dans la mesure où c'est une « machine sacrifiée » consacrée aux tests. En fait, je ne voulais pas tester ce processus avec un ordinateur de production et des données de production. Aussi, j'ai effectué une installation avant d'engager les tests pour être en mesure de réinstaller si j'avais besoin de retourner à une configuration connue.
N.B. | |
---|---|
Les exemples de commandes montreront, en général, ce que j'ai dû effectuer pour récupérer le système cible. Vous utiliserez sans doute des commandes similaires, mais avec des paramètres différents. C'est à vous de vous assurer que vous dupliquez votre configuration, et non pas la configuration de l'ordinateur de test. |
La procédure initiale a été mise au point dans le livre de W. Curtis Preston, Unix Backup & Recovery, O'Reilly & Associates, 1999, que j'ai approuvé dans le Linux Journal. Cependant, le livre est un peu léger en ce qui concerne les questions spécifiques, concrètes. Par exemple, quels fichiers faut-il sauvegarder ? Quelles méta données sont à conserver, et comment ?
Avant de démarrer le processus publié dans ce guide pratique, il vous faudra sauvegarder votre système à l'aide d'un outil de sauvegarde classique comme Amanda, BRU™, tar, Arkeia®ou cpio. La question suivante sera de déterminer comment exécuter l'outil qui restaurera vos données à partir d'un matériel hors d'usage.
Les utilisateurs du Red Hat Package Manager (RPM) des distributions Linux devront aussi sauver les méta données RPM en tant que parties intégrantes de leurs sauvegardes normales. Une instruction du type :
bash# rpm -Va > /etc/rpmVa.txt
dans votre script de sauvegarde vous donnera une base de comparaison du résultat à obtenir après une restauration intégrale de système.
Pour arriver à ce point, il vous faut :
Votre matériel remonté et de nouveau en état de marche, les composants ayant été remplacés. Le BIOS devrait être configuré correctement, y compris l'heure et la date, ainsi que les paramètres du disque dur. À ce stade, il n'y a pas de raison d'utiliser un disque dur différent.
Un lecteur Iomega® ZIP® sur port parallèle ou équivalent. Vous aurez besoin d'au moins 30 Mo d'espace libre.
Votre média de sauvegarde.
Un système Linux minimal pour vous permettre de lancer le logiciel de restauration.
Pour en arriver là, au moins deux étapes de sauvegarde sont nécessaires, peut-être trois. La nature exacte de ce que vous sauvegardez et à quelle étape vous sauvegardez est déterminée par votre processus de restauration. Par exemple, si vous restaurez un serveur de bandes, il se peut que vous n'ayez pas besoin du réseau pendant le processus de restauration. Donc, sauvegardez le réseau uniquement lors de vos sauvegardes habituelles.
De plus, vous restaurerez par étapes. À l'étape une, nous construisons les partitions, les systèmes de fichiers, etc. et restaurons un minimum de fichiers du disque ZIP. L'objectif de la première étape est de pouvoir initialiser un ordinateur disposant d'une connexion réseau, de lecteurs de bandes, d'un logiciel de restauration ou de tout ce qui est nécessaire pour l'étape deux.
La seconde étape si nécessaire, consiste à restaurer le logiciel de sauvegarde et les bases de données associées. Par exemple, supposons que vous utilisiez Arkeia et que vous prépariez un disque zip de restauration intégrale de système pour votre serveur de sauvegarde. Arkeia occupe énormément d'espace pour sa base de données sur les disques durs du serveur. Si vous le désirez, vous pouvez récupérer la base de données à partir des bandes. À la place, pourquoi ne pas archiver et compresser avec tar et gzip l'intégralité du répertoire arkeia (/usr/knox), et l'enregistrer sur un autre ordinateur à l'aide de nfs ou ssh ? La première étape, comme nous l'avons défini plus bas, ne comprend pas X. Vous aurez donc quelques tests à effectuer si vous désirez sauvegarder X avec votre programme de sauvegarde. Pour certains programmes de restauration, X est indispensable.
Bien sûr, si vous utilisez d'autres programmes de sauvegarde, vous aurez peut-être un travail de détective à effectuer. Vous devrez déterminer les répertoires et les fichiers nécessaires à son fonctionnement. Si vous utilisez tar, gzip, cpio, mt ou dd comme outils de sauvegarde et de restauration, ils devront être enregistrés sur votre disque ZIP et restaurés pendant la première étape décrite plus bas.
La dernière étape est une restauration intégrale à partir d'une bande ou d'un autre média. Après avoir terminé la dernière étape, vous devriez pouvoir démarrer un système entièrement restauré et opérationnel.
Ce guide pratique se limite à la création d'une sauvegarde minimum de sorte que, ayant ensuite restauré cette sauvegarde vers un nouveau matériel (« restauration intégrale de système »), vous pourrez ensuite utiliser vos sauvegardes traditionnelles pour restaurer un système totalement opérationnel. Ce guide pratique ne traite pas de vos sauvegardes traditionnelles.
Même dans ce cadre étroit, ce guide pratique n'est pas exhaustif. Vous devrez encore faire des recherches, éditer des scripts et effectuer des tests.
Les scripts présentés restaurent les données des partitions telles qu'elles sont sur le disque dur d'origine. Ce serait formidable si vous pouviez restaurer sur un ordinateur identique ou au moins un disque dur identique, mais c'est rarement le cas. Pour l'instant, il y a deux remèdes (qui prendront plus de sens après que vous ayez lu le reste du guide pratique) :
Éditez le fichier d'entrée de la table des partitions. Je l'ai fait quelquefois. Vous pouvez aussi recourir à ce moyen pour ajouter de nouvelles partitions ou en supprimer (mais éditez les scripts qui utilisent aussi le fichier d'entrées de la table des partitions).
Créez à la main une nouvelle table des partitions et partez de ce point. c'est
une des raisons qui fait que
restore.metadata
n'appelle pas le script de reconstruction du
disque dur. Utilisez le script de reconstruction.
Les scripts présentés ici prennent en charge uniquement ext2fs, FAT12, FAT16 et FAT32. Vous aurez besoin d'autres outils pour sauvegarder et restaurer des systèmes de fichiers que nous n'avons pas couverts, à moins que des volontaires passionnés ne codent les scripts pour le faire. Partition Image se présente comme un candidat utile.
AVERTISSEMENT | |
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Effectuez vos sauvegardes traditionnelles de façon régulière. Ce guide pratique est sans intérêt si vous ne le faites pas. |
Fabriquez vous-même un disque de secours. J'utilise tomsrtbt. Il est bien documenté et tient sur une disquette qui comprend de nombreux outils utiles. Sa liste de discussion est active et les quelques questions que j'ai posées ont trouvé rapidement une réponse précise. J'apprécie cela dans un produit dont ma boutique peut dépendre un jour.
Ensuite, imaginez comment sauvegarder le système d'exploitation dont vous aurez besoin pour restaurer vos sauvegardes traditionnelles. J'ai suivi les conseils de Preston et j'ai utilisé un lecteur ZIP sur port parallèle. Les lecteurs contiennent à peu près 90 Mo utiles. J'ai besoin d'environ 85 Mo pour sauvegarder mon ordinateur, ce qui fait qu'un lecteur de 100 Mo peut être votre salut.
L'installation du lecteur ZIP est décrite dans le guide pratique des disques ZIP, qui est disponible auprès du Linux Documentation Project et, pour sa traduction française, à l'adresse http://www.traduc.org/docs/HOWTO/vf/ZIP-Drive.html .
Votre sauvegarde de production étant effectuée, il est indispensable de conserver les informations de partitions pour pouvoir les reconstruire.
Le script make.fdisk
recherche les informations des partitions du disque dur et les enregistre dans
trois fichiers. Le premier est un script exécutable, nommé make.dev.x
(où « x »
est le nom du fichier de périphérique, c'est-à-dire hda). Le second est mount.dev.x
, qui crée les
points de montage et qui y monte les partitions nouvellement créées. Le dernier,
dev.x
, est constitué des
commandes nécessaires à fdisk pour construire les partitions.
Vous précisez quel disque dur vous désirez, pour construire les scripts associés
(et donc les noms de fichiers) en nommant le fichier de périphérique associé comme
argument de make.fdisk
. Par
exemple, sur un système IDE classique,
bash# make.fdisk /dev/hda
produit les scripts make.dev.hda
,
mount.dev.hda
ainsi que le
fichier en entrée de fdisk, dev.hda
.
De plus, si make.fdisk
rencontre une partition FAT, il conserve le secteur d'amorçage de la partition
dans un fichier nommé dev.xy
, où x est le nom de périphérique
du disque (c'est-à-dire sdc, hda) et y est le numéro de la partition. Le secteur
d'amorçage est le premier secteur (512 octets) de la partition. Ce secteur est
restauré en même temps que les partitions sont reconstruites, dans le script
make.dev.hda
.
Heureusement, le prix des disques durs s'effondre presque aussi vite que la confiance du public envers les politiciens après une élection. Donc, c'est une bonne chose que les fichiers produits soient au format texte et puissent être édités manuellement. C'est la façon la plus difficile mais la plus flexible pour effectuer une reconstruction sur un plus grand disque de remplacement. (Voir la liste du carnet de route.)
Les autres méta données sont conservées dans le script save.metadata
.
Le script enregistre les informations de partition dans le fichier
fdisk.hda
à la racine du disque ZIP. C'est une bonne idée
d'imprimer ce fichier ainsi que votre /etc/fstab
pour
avoir une copie durable au cas où vous devriez restaurer manuellement les
données de la partition. Vous pouvez enregistrer une arborescence en alternant
l'utilisation de deux consoles virtuelles, par le lancement de
fdisk dans l'une et en affichant par la commande
cat /etc/fstab
ou /fdisk.hda
au besoin. Cependant, pratiquer ainsi peut mener à l'erreur.
Vous voudrez aussi conserver les fichiers se rapportant à votre méthode de restauration. Par exemple, si vous utilisez nfs pour sauvegarder vos données, vous devrez conserver hosts.allow, hosts.deny, exports, etc. De même, si vous utilisez un processus de restauration adossé au réseau comme Amanda ou Quick Restore, il vous faudra conserver les fichiers de configuration réseau tels que HOSTNAME, hosts, etc., ainsi que l'arborescence logicielle qui s'y rapporte.
La façon la plus simple de régler ces questions ainsi que d'autres similaires est de conserver l'intégralité du répertoire etc.
Il est impossible à un lecteur ZIP de 100 Mo de contenir à lui tout seul l'installation d'une distribution moderne d'un serveur Linux. Nous ne pouvons pas conserver l'ensemble du zinzin. Il nous faut être bien plus sélectifs. De quels fichiers avons-nous besoin ?
Le répertoire /boot.
Le répertoire /etc et ses sous-répertoires.
Les répertoires nécessaires au moment du démarrage.
Les fichiers de périphériques dans /dev.
Pour déterminer les répertoires nécessaires au démarrage, il nous faut
regarder dans le fichier d'initialisation du démarrage
/etc/rc.sysinit
. Il détermine son propre chemin
ainsi :
PATH=/bin:/sbin:/usr/bin:/usr/sbin export PATH
Les essais et les erreurs ont indiqué que nous avons besoin d'autres
répertoires, tels que /dev
. Sous Linux, vous ne pouvez pas
faire grand-chose sans les fichiers de périphériques.
Lorsque vous lirez le script save.metadata
, vous remarquerez
que nous ne sauvegardons pas nécessairement les fichiers qui sont appelés par
leur chemin absolu.
Il nous faudra peut-être procéder à plusieurs itérations de sauvegarde, tester la restauration intégrale du système, réinstaller d'un CDROM et essayer encore, avant d'obtenir un script de sauvegarde fonctionnel. Pour la préparation de ce guide pratique, j'ai fait cinq itérations avant de réussir une restauration. C'est la raison pour laquelle il est nécessaire d'utiliser des scripts dès que possible. Testez soigneusement !
L'une des choses à faire avec un système basé sur RPM est d'utiliser le programme rpm pour déterminer l'emplacement des fichiers. Par exemple, pour obtenir la liste complète des fichiers utilisés par le paquet openssh, saisissez :
bash# rpm -ql openssh
Certains éléments ne sont pas nécessaires, comme les pages man. Vous pouvez les inspecter un par un et décider de les sauvegarder ou non.
AVERTISSEMENT | |
---|---|
La seconde étape de la restauration est menée sans que les fichiers précédemment restaurés soient écrasés. Cela signifie que les fichiers restaurés durant la première étape sont ceux qui seront utilisés après la fin de la restauration. Donc, mettez à jour vos sauvegardes intégrales de système à chaque fois que vous mettez à jour des fichiers de ces répertoires. |
AVERTISSEMENT | |
---|---|
La version de tar fournie avec tomsrtbt ne préserve pas le propriétaire lors de la restauration. Ceci peut poser problème à des applications comme Amanda. Amanda, outil de sauvegarde et de restauration, a plusieurs répertoires dont le propriétaire est son utilisateur éponyme. La solution est :
|
Ce processus de sauvegarde vous oblige à disposer du lecteur de disque ZIP à chaque sauvegarde. Vous pouvez créer le contenu du disque ZIP dans un répertoire, puis le sauvegarder via le réseau. Ensuite, il vous faudra simplement construire un disque ZIP sur le serveur de sauvegarde (avec la commande cp -rp) lorsque vous aurez besoin de restaurer.
Le processus de sauvegarde sera plus rapide, mais vérifiez tout de même que le
répertoire créé tiendra sur votre disque ZIP (avec la commande
du -hs $cible.zip) ! Vous devrez éditer la définition
de la variable zip
dans le fichier save.metadata
.
Mon portable ne supportant pas la présence simultanée d'une carte réseau et d'un lecteur ZIP, c'est le processus que j'utilise pour le sauvegarder. Je conserve une image de sauvegarde en même temps que la courante, ce qui fait que je dispose d'un système de secours au cas où l'ordinateur planterait pendant une sauvegarde.
Vous pouvez aussi sauvegarder sur plusieurs disques ZIP des données qui en valent la peine, et les transférer sur le système pendant la restauration.
Ceci est similaire à l'option « pas de lecteur ZIP » ci-dessus. Enregistrez vos sauvegardes dans un répertoire de votre disque dur, comme mentionné. Puis, utilisez la commande mkisofs pour créer une image ISO 9660 de ce répertoire et gravez-la.
De nos jours, beaucoup d'ordinateurs sont livrés avec un lecteur de
CDROM mais pas de disquette. De plus, les lecteurs de disquette
tombent en panne. C'est pourquoi, graver votre CDROM avec une image qui permette
d'amorcer le système est une bonne idée. La mauvaise
nouvelle, c'est que le format « El Torito » supporte les
disquettes de 1,2 Mo, 1,44 Mo et 2,88 Mo, et que tomsrtbt utilise une disquette de
1,7 Mo. La bonne nouvelle, c'est que vous pouvez obtenir une
version en 2,88 Mo,
tomsrtbt-2.0.103.ElTorito.288.img
, des mêmes
miroirs que là où vous vous procurez l'image pour disquette. Placez une
copie
[1]
dans le répertoire racine des fichiers de sauvegarde. Puis, utilisez
l'option -b de la commande mkisofs pour spécifier que
tomsrtbt-2.0.103.ElTorito.288.img
est le fichier de
l'image d'amorçage.
Le seul point noir de ce processus est que beaucoup de vieux BIOS ne supportent pas les images de disquette de 2,88 Mo sur CDROM. Beaucoup de ceux-ci s'amorceront avec une disquette tomsrtbt.
On peut aussi utiliser Syslinux. Il n'est pas dépendant de l'image d'une disquette et vous pouvez construire votre propre CD avec un certain nombre d'outils tels que tomsrtbt.
Il vous faudra peut-être ajuster les options du BIOS pour pouvoir amorcer sur le lecteur de CDROM.
Testez vos CDROM sur le lecteur que vous utiliserez
pour la restauration. S'il se trouve que vous devez modifier les scripts, vous
pouvez les copier dans /tmp
, un disque en mémoire vive sous
tomsrtbt, et les y éditer. Les
scripts s'exécuteront à cet emplacement. Un disque en MEV étant volatil par
nature, enregistrez vos changements avant de réamorcer !
En séparant les deux premiers scripts de la première étape, restore.metadata
et save.metadata
, vous
pouvez répartir les méta données de la première étape sur plusieurs disques
ZIP.
Lors de la première étape, il est parfois nécessaire de compresser quelques
méga-octets de données, particulièrement lorsque vous atteignez les limites de
votre disque ZIP. La fonction crunch du script save.metadata
accepte de nombreux paramètres pour alimenter la commande
tar. Elle accepte aussi le paramètre
--exclude. Ainsi, par exemple, vous pouvez exclure les
répertoires samba
et X11
situés dans
/etc
de cette façon :
crunch etc etc --exclude etc/samba --exclude etc/X11
Pourquoi ces deux-là ? Parce qu'ils consomment beaucoup d'espace disque et que nous n'en avons pas besoin pour l'amorçage.
Si vous possédez un nombre important de noyaux, vous pouvez éliminer les
modules de tous les noyaux sur lesquels vous n'amorcerez pas. vérifiez votre
lilo.conf
ou grub.conf
pour connaître le noyau que vous utiliserez, puis vérifiez
/lib/modules
pour connaître les répertoires des modules que
vous pouvez exclure.
Où trouver d'autres bons candidats à l'exclusion ? Listez les répertoires cible avec la commande ls -alSr pour les fichiers individuels, et avec la commande du | sort -n pour les répertoires.
Une autre façon (probablement plus nette), d'exclure les répertoires est
d'écrire la liste complète des répertoires dans un fichier puis d'y faire
référence via l'option tar --exclude-from=FILENAME
.
Si votre système utilise un disque MEV pour initialiser, ou initrd pour amorcer,
assurez-vous que restore.metadata
crée le
répertoire /initrd
. La façon la plus simple de le faire
est de s'assurer qu'ils figurent dans la liste des répertoires utilisés dans la
boucle de création des répertoires (vers la fin).
Votre système utilise probablement initrd s'il démarre sur un disque SCSI ou si
sa racine est sur une partition ext3fs. Vérifiez dans
/etc/lilo.conf
s'il appelle un tel script.
La première chose à faire avant de démarrer le processus de restauration est de vérifier que l'heure du système est correctement réglée. Pour ce faire, configurez le BIOS. La précision du réglage de l'heure dépendra de vos applications. Pour une restauration, une précision de quelques minutes devrait être suffisante. Cela devrait permettre aux événements dépendant de l'heure de redémarrer à leur point d'arrêt lorsque vous lancerez finalement la restauration du système.
Avant de démarrer tomsrtbt,
vérifiez que votre lecteur ZIP est installé sur un port parallèle, soit
/dev/lp0
soit /dev/lp1
. Le
logiciel d'initialisation chargera pour vous le pilote du lecteur zip
sur le port parallèle.
L'étape suivante est la configuration du mode vidéo. D'habitude, j'aime afficher à l'écran tout ce qui est possible. À l'apparition de la sélection du mode vidéo, je sélectionne le mode 6, 80 colonnes par 60 lignes. Il se peut que votre matériel ne soit pas capable de supporter de si hautes résolutions, aussi effectuez des tests.
Une fois tomsrtbt démarré et que vous voyez une console, montez le lecteur ZIP. C'est probablement une bonne idée de le monter en lecture seule :
# mount /dev/sda1 /mnt -o ro
Vérifiez sa présence :
# ls -l /mnt
À ce stade, vous pouvez lancer la restauration automatiquement ou manuellement. Utilisez la restauration automatique si vous n'avez pas besoin d'effectuer des changements pendant celle-ci.
Une remarque cependant si vous avez plusieurs disques durs. Si votre
installation de Linux monte des partitions à partir de plusieurs disques
durs, vous devez monter la partition racine en premier. Ceci pour être
certain que les répertoires des points de montage sont créés sur la
partition à laquelle ils appartiennent. Le script
first.stage
lancera les scripts de montage des lecteurs dans
leur ordre de création. Si vous les avez créés (dans le script
save.metadata
) dans un ordre découlant de l'arbre
racine, le processus de montage devrait se dérouler correctement.
Si vous avez plusieurs disques durs, et qu'ils se montent de façon croisée, faites-le à votre main. Vous pouvez combiner et éditer les scripts pour les monter dans le bon ordre, où les monter manuellement.
Le processus automatique lance tous les scripts manuels dans le bon ordre. Il ne permet pas les interventions manuelles, telles que la création de systèmes de fichiers que ce guide pratique ne prend pas en charge. Pour lancer la première étape de restauration automatiquement, saisissez :
# /mnt/root.bin/first.stage
Si vous désirez rechercher les blocs endommagés, ajoutez l'option
« -c
».
Pour lancer le processus manuel, positionnez-vous dans le répertoire où se trouvent les scripts, dans le lecteur ZIP.
# cd /mnt/root.bin
Lancez maintenant le(s) script(s) qui restaurer(a/ont) les informations de partition et créer(a/ont) les systèmes de fichiers. Vous pouvez les lancer dans n'importe quel ordre, par exemple :
# ./make.dev.hda
Si vous désirez qu'une recherche de blocs endommagés s'effectue, ajoutez
l'option « -c
».
Ce script va :
Nettoyer les 1024 premiers octets du disque dur, détruire toutes les tables des partitions existantes ainsi que le bloc de démarrage (MBR).
Recréer les partitions des informations collectées quand vous avez lancé
make.fdisk
.
Créer correctement des partitions ext2 et ext3 ainsi que des partitions
swap. Si vous ajoutez l'option « -c
» au
script, il vérifiera aussi les blocs défectueux.
Créer différents types de partitions FAT.
N.B. | |
---|---|
Si vous devez restaurer d'autres systèmes d'exploitation, c'est le moment de le faire. Lorsque c'est terminé, redémarrez avec tomsrtbt et continuez la restauration de Linux. |
À présent, lancez le(s) script(s) qui crée(nt) des points de montage et montez les partitions.
# ./mount.dev.hda
Une fois que vous avez créé tous vos répertoires et que vous y avez
monté les partitions, vous pouvez lancer le script restore.metadata
. Il restaurera le contenu du lecteur zip sur le disque dur.
Vous devriez voir un répertoire du répertoire racine du lecteur zip, puis une liste des fichiers d'archives tels qu'ils sont restaurés. L'exécution de la commande tar sous tomsrtbt vous dira que la taille d'un bloc de tar est de 20, et c'est très bien ainsi. Vous pouvez l'ignorer. Assurez-vous que lilo affiche ses résultats :
Added linux *
Un affichage suivra, correspondant à la commande « df -m ».
Si d'habitude vous démarrez directement sous X, vous aurez peut-être
quelques problèmes. Pour les éviter, changez temporairement votre niveau
de démarrage. Dans le fichier /target/etc/inittab
,
trouvez la ligne qui ressemble à :
id:5:initdefault:
et transformez-la en :
id:3:initdefault:
Vous pouvez maintenant démarrer en douceur. Retirez la disquette tomsrtbt de votre lecteur si vous ne l'avez pas encore fait, et faites le salut à trois doigts à votre ordinateur (N.D.T. : CTRL+MAJ+SUP), ou son équivalent :
# reboot
L'ordinateur va s'arrêter et redémarrer.
Au redémarrage de l'ordinateur, vérifiez dans le BIOS que l'heure est à peu près correcte.
Une fois la vérification terminée, sortez du BIOS et redémarrez sur le disque dur. Laissez simplement la séquence de démarrage normal de l'ordinateur se dérouler. Vous verrez un nombre important de messages d'erreurs, essentiellement de type « Impossible de trouver bla-bla ! Ouahhh ! » Si vous avez bien travaillé jusqu'à maintenant, ces messages d'erreurs seront sans importance. Vous n'avez pas besoin de linuxconf ou d'apache pour cette opération.
N.B. | |
---|---|
Vous pouvez aussi démarrer en mode utilisateur unique (single
user) : à l'invite de lilo, saisissez : |
Vous devriez vous identifier sur une console en tant que super utilisateur (root) (désolé, pas de session X, pas d'utilisateurs). À présent, vous devriez pouvoir utiliser le réseau, par exemple pour monter la sauvegarde de votre système via nfs.
Si vous avez effectué la sauvegarde en deux étapes que j'ai suggérées pour Arkeia, vous pouvez maintenant restaurer les exécutables et la base de données d'Arkeia. Vous devriez pouvoir lancer
/etc/rc.d/init.d/arkeia start
et démarrer le serveur. Si vous avez une interface graphique installée sur un autre ordinateur, vous devriez pouvoir vous connecter à Arkeia sur votre serveur de bandes et préparer la restauration.
N.B. | |
---|---|
Pendant la restauration, lisez attentivement la documentation de restauration de vos programmes. Par exemple, d'habitude, tar ne restaure pas certaines caractéristiques de fichiers, telles que le bit suid. Les droits sur les fichiers sont fixées par l'utilisateur avec la commande umask. Pour restaurer vos fichiers exactement comme vous les avez sauvegardés, utilisez l'option tar avec l'option p. De la même manière, vérifiez que votre logiciel de restauration restaure les données de façon identique à la sauvegarde. |
Pour restaurer l'ordinateur de test, saisissez :
bash# restore.all
Si vous avez sauvegardé et restauré avec tar, et avez utilisé l'option -k (conserver les anciens fichiers, ne pas écraser), vous constaterez un nombre important de :
tar: usr/sbin/rpcinfo: Could not create file: File exists tar: usr/sbin/zdump: Could not create file: File exists tar: usr/sbin/zic: Could not create file: File exists tar: usr/sbin/ab: Could not create file: File exists
Ceci est normal, tar refusant d'écraser les fichiers que vous avez restaurés pendant la première étape.
Puis redémarrez. À la fermeture, vous verrez un nombre important de messages d'erreurs, tels que « no such pid ». Ils font partie du processus. Le programme de fermeture utilise les fichiers pid des démons qui tournaient au moment de la sauvegarde pour fermer les démons qui n'avaient pas été lancés au dernier démarrage. Et évidemment, il n'ont pas de PID.
Votre système devrait s'initialiser normalement avec beaucoup moins d'erreurs que précédemment et idéalement sans erreurs. Le test décisif du bon fonctionnement de votre restauration sur un système basé sur des RPM est de vérifier tous les paquets :
bash# rpm -Va
Si vous constatez des messages d'erreurs de dépendances, vous pouvez lancer la commande /etc/cron.daily/prelink pour les enlever.
Certains fichiers, tels que les fichiers de configuration et les journaux, auront naturellement changé ; vous devriez pouvoir mentalement les exclure du rapport. Vous pouvez rediriger la sortie dans un fichier, et le comparer grâce à diff avec celui effectué lors de la sauvegarde (/etc/rpmVa.txt), ce qui accélérera considérablement cette étape. Les utilisateurs d'Emacs devraient se renseigner sur ses aptitudes à comparer des fichiers.
À présent, votre système devrait être lancé et fonctionner. C'est le moment de tester vos applications, particulièrement celles lancées en tant que démons. Plus les applications seront sophistiquées, plus il vous faudra effectuer des tests. S'il y a des utilisateurs distants, interdisez leur l'accès du système, ou passez le en « lecture seule » le temps des tests. Ceci vaut particulièrement pour les bases de données, afin empêcher une corruption ou une perte de données pire que ce qu'il pourrait déjà y avoir.
Si d'habitude vous redémarrez directement sous X et que vous l'avez désactivé plus haut, testez X avant de le réactiver. Réactivez-le en rétablissant cette unique ligne dans le fichier /etc/inittab :
id:5:initdefault:
Vous pourrez alors aller faire la fête, prendre un peu d'aspirine et aller au dodo.
Vous trouverez ci-dessous des remarques nées de l'expérience, distribution par distribution. Si vous avez des remarques concernant d'autres distributions, envoyez-les-moi.
Fedora est issue de Red Hat 9. Effectuez les modifications suivantes :
Fedora utilise grub, et non lilo. Effectuez les modifications suivantes.
Il n'est plus nécessaire de sauvegarder les bibliothèques kerberos
séparément, comme dans la Red Hat 8.0.
Enlevez ou mettez en commentaire cette ligne du fichier save.metadata
:
# RH8. Fedora 1 puts them in /lib # crunch kerberos usr/kerberos/lib/
Les noms des bibliothèques nécessaires à la sauvegarde de SSH ont
changé. Aussi, dans le fichier
save.metadata
:
# save these so we can use ssh for restore. *crack* for RH 7.0 login # authentication. # RH 8.0 # crunch usr.lib usr/lib/*crack* usr/lib/libz* usr/lib/libssl* usr/lib/libcrypto* # Fedora 1 crunch usr.lib usr/lib/*crack* usr/lib/libz* usr/lib/libwrap* usr/lib/libk* usr/lib/libgss*
Dans le fichier
restore.metadata
, il y a un plus grand
nombre de répertoires à sauvegarder.
# If you boot via an initrd, make sure you build a directory here so # the kernel can mount the initrd at boot. tmp/.font-unix is for the # xfs font server. for dir in mnt/save mnt/zip mnt/cdrom mnt/floppy mnt/imports mnt/dosc mnt/nfs\ proc initrd tmp/.font-unix var/empty/sshd var/lock/subsys var/log; do
Certains modes sont à configurer :
chmod a-w $target/proc # Restore /proc's read-only permissions # Set modes chmod 0111 $target/var/empty/sshd chmod 0775 $target/var/lock # For Fedora. First two for xfs. chroot $target chown xfs:xfs /tmp/.font-unix chmod 1777 $target/tmp/.font-unix # set the sticky bit. chmod 1777 $target/tmp
Je n'ai jamais travaillé sous Red Hat 9. Les commentaires concernant Fedora devraient s'appliquer également à la Red Hat 9.
Il est nécessaire de modifier Red Hat 8.0 uniquement si vous vous connectez après la première étape de restauration via ssh. Si vous effectuez la deuxième étape de restauration avec ssh, effectuez les modifications suivantes :
Dans le fichier
save.metadata
, ajoutez les bibliothèques kerberos à la première étape
de sauvegarde :
crunch kerberos usr/kerberos/lib/
Dans le fichier
restore.metadata
, il y a une boucle qui crée plusieurs répertoires.
Tout d'abord, ajoutez le nom de ces deux répertoires à la liste :
/var/empty/sshd
et
/var/lock/subsys
. Red Hat 8.0 utilisant par défaut ext3fs, a besoin d'un disque en MEV au
démarrage. Aussi assurez-vous que
initrd
est dans la liste. Puis, s'il n'y est pas encore, ajoutez l'argument
-p
à la commande mkdir.
Le groupe propriétaire du répertoire
/var/lock/subsys
est le groupe lock, aussi changez son propriétaire.
chroot $target /bin/chown root:lock /var/lock
Pour finir,
usr/lib/libcrypto*
a disparu, aussi vous pouvez le retirer de la ligne qui traite
usr/lib
.
À l'origine, j'ai utilisé cette distribution sur mon ordinateur de test. Je n'ai eu aucun problème avec.
Il semble que cette version ait besoin de libcrack (dans /usr/lib) et de ses
fichiers pour authentifier les utilisateurs. Aussi, dans le fichier save.metadata
, ajoutez ce
qui suit à la ligne qui sauvegarde /usr/lib : /usr/lib/*crack* et activez
cette ligne.
Je n'ai pas utilisé Knoppix, mais d'autres que moi l'ont fait. Pasi Oja-Nisula nous en parle :
Pour moi, le grand avantage de knoppix est que je n'ai pas besoin d'un médium de démarrage propre à chaque machine mais que je peux utiliser les mêmes outils tout le temps. Et le support matériel de Knoppix est vraiment excellent. Je n'ai pas tant d'expérience que ça avec les différentes plates-formes mais toutes les machines que j'ai essayé ont bien fonctionné, les pilotes scsi ont été trouvés, etc...
J'effectue le travail de restauration en copiant les sauvegardes sur une autre machine du réseau. Restaurer implique de démarrer à partir du CDROM de Knoppix, d'aller chercher le fichier metadata.tar.gz sur l'autre machine du réseau. Puis de d'appeler make.dev, mount.dev, d'aller chercher les autres fichiers tar.gz, grub et de redémarrer. Il y a bien quelques saisies mais, grâce à vos scripts, c'est très simple. À moins que vous ne passiez de ide à scsi ou quelque chose de ce genre, mais même ainsi, ce n'est pas si difficile dans la mesure où Linux peut facilement être restauré sur différents matériels.
Jetez aussi un coup d'œil à « Récupération de système avec Knoppix (System recovery with Knoppix, N.D.T. : pas de version française) » .
Vous trouverez ci-dessous quelques remarques sur la sauvegarde de certaines applications.
Le chargeur d'amorçage par défaut de Fedora est le Grand Chargeur D'amorçage Unifié (Grand Unified Bootloader (GRUB)) . Il doit être lancé à la fin de la première étape, sans quoi vous ne pourrez pas démarrer ensuite. Pour l'inclure dans la première étape de restauration, effectuez les modifications suivantes :
Éditez la pénultième stance de
restore.metadata
:
# Now install the boot sector. # chroot $target /sbin/lilo -C /etc/lilo.conf chroot $target /sbin/grub-install /dev/hda
Ajoutez la stance suivante à
save.metadata
:
# Grub requires these at installation time. crunch usr.share.grub usr/share/grub
Si vous utilisez Tripwire ou une autre application qui utilise une base de données de métadonnées en fichiers, reconstruisez cette base de données immédiatement après la restauration.
Squid est un serveur HTTP de cache et de proximité. Il stocke donc une grande
quantité de données temporaires sur le disque dur. Il n'y a aucune raison de les
sauvegarder. Insérez «
--exclude /var/spool/squid »
dans la commande tar appropriée du script de sauvegarde de la deuxième étape.
Puis, laissez squid reconstruire sa structure de répertoires lui-même. Ajoutez
une commande pour que squid s'initialise tout seul à la fin du script de
restauration de la deuxième étape. Voilà comment j'ai fait avec ssh dans le
fichier
restore.tester
:
ssh $target "mkdir /var/spool/squid ; chown squid:squid /var/spool/squid;\ /usr/sbin/squid -z; touch /var/spool/squid/.OPB_NOBACKUP"
La dernière commande crée un fichier de longueur 0 appelé .OPB_NOBACKUP. Il est à destination d' Arkeia, et lui dit de ne rien sauvegarder en dessous de ce répertoire.
Ces notes sont basées sur des tests effectués avec Arkeia 4.2.
Arkeia est un programme de sauvegarde et de restauration qui tourne sur une grande variété de plate-formes. Vous pouvez utiliser Arkeia dans votre programme de restauration intégrale de système, mais je ferais deux observations.
La première est probablement celle qui pose le plus de problèmes, dans la mesure
où il n'y a pas de solution plus élégante que de sélectionner à la main et dans
le navigateur les répertoires à restaurer. Ceci est dû au fait qu'apparemment,
Arkeia ne dispose pas de mécanisme pour ne pas restaurer des fichiers déjà
présents sur le disque, rien qui soit analogue à
tar
et à son option -p. Si vous paramétrez simplement une restauration complète, la
restauration plantera car Arkeia écrasera une bibliothèque utilisée au moment de
la restauration, à savoir
lib/libc-2.1.1.so
. Une sélection à la main des répertoires à restaurer est moins risquée, aussi
je la recommande.
La seconde observation est qu'il vous faudra sauvegarder le dictionnaire des
données et/ou les programmes d'Arkeia. Pour le faire, modifiez le script
save.metadata
en ajoutant Arkeia à la liste des répertoires à sauvegarder :
# arkeia specific: tar cf - usr/knox | gzip -c > $zip/arkeia.tar.gz
C'est ainsi que vous devez sauvegarder le dictionnaire des données car Arkeia ne le fait pas. C'est un des reproches que je fais à Arkeia, mais je le résous sur mon propre PC en sauvegardant le dictionnaire des données sur bande avec The TOLIS Group's BRU .
Le script
restore.metadata
restaurera le dictionnaire des données automatiquement.
Amanda, archiveur automatique avancé sur disque en réseau du Maryland (The Advanced Maryland Automatic Network Disk Archiver), marche plutôt bien avec cet ensemble de scripts. Utilisez le processus normal de sauvegarde d'Amanda et créez votre première étape comme d'habitude. Amanda stocke les données sur bande au format tar ou cpio, donc vous pouvez restaurer des fichiers individuels jusqu'à des images complètes de sauvegarde. Ce qu'il y a de bien dans une restauration d'image complète est que vous pouvez utiliser les variantes de ce guide pratique pour restaurer à partir de l'image ou à partir de la bande directement. J'ai pu réparer ma machine de tests avec les instructions de W. Curtis Preston et de son Unix Backup & Recovery. Pour plus d'informations, consultez le lien Ressources. Le chapitre du livre qui concerne Amanda est en ligne.
J'ai effectué deux changements au script
restore.tester
. Premièrement, je l'ai modifié pour
qu'il accepte un nom de fichier comme argument. Puis, comme la commande d'Amanda
amrestore décompresse les données pendant qu'il les restaure,
je l'ai réécrit pour qu'il envoie, via la commande cat, le fichier dans le canal
(pipe) plutôt que de le décompresser.
La ligne en question ressemble à :
cat $fichier | ssh $cible "umask 000 ; cd / ; tar -xpkf - "
où $fichier est l'argument du script, l'image récupérée de la bande par la commande amrestore.
Comme les arguments de la ligne de commande de tar interdisent l'écrasement de fichiers, restaurez les images dans l'ordre inverse de leur ordre de création. Restaurez les plus récents en premier.
Avec Amanda, il n'est pas nécessaire de déterminer manuellement les
propriétaires si vous sauvegardez le répertoire des données d'Amanda avec le
fichier save.metadata
.
Ce devrait être une instruction du type :
bash# chown -R amanda:disk /var/lib/amanda
Vous pouvez aussi ajouter cette ligne à vos scripts de la deuxième étape de
restauration, comme dans restore.tester
.
Vous devriez placer les disques zip de chaque ordinateur et les sorties papier que vous avez effectuées dans un endroit sur de votre boutique. Vous devriez conserver des copies de ces sauvegardes dans un site de stockage extérieur. L'intérêt principal d'un site de stockage extérieur est de rendre possible une récupération après un désastre ; restaurer chaque hôte sur un matériel de remplacement fait d'ailleurs partie d'une récupération après un désastre.
Vous devriez conserver plusieurs disquettes de tomsrtbt ainsi que si possible plusieurs disques zip à l'extérieur. De plus, installez des copies de la distribution de tomsrtbt sur plusieurs de vos ordinateurs, de façon à ce qu'ils puissent se restaurer mutuellement.
Vous devriez probablement conserver des copies de ce guide pratique, agrémentées d'annotations spécifiques à votre site, avec vos sauvegardes et sur votre site extérieur de conservation des sauvegardes.
Ce guide pratique est le résultat d'expérimentations sur un seul ordinateur. Vous y trouverez sans aucun doute des répertoires ou des fichiers nécessaires à la première étape de votre sauvegarde. Je n'ai pas essayé de sauvegarder ni de restaurer X à la première étape, pas plus que je ne me suis occupé d'autres processeurs qu'Intel.
J'apprécierais que vous me fassiez des retours sur vos tests et les améliorations que vous avez apportées à ces scripts pour vos ordinateurs. J'encourage aussi les éditeurs de logiciels de sauvegarde à rédiger une documentation permettant d'effectuer une sauvegarde minimum de leurs produits. J'aimerais que grâce à ces efforts la communauté Linux dorme un tout petit peu mieux chaque nuit.
Les volontaires sont bienvenus. Avant de commencer un thème, consultez-moi pour savoir si quelqu'un d'autre y travaille déjà.
Un éditeur de partitions pour ajuster les limites des partitions dans le fichier
dev.hdx
. Cela permettra aux utilisateurs d'ajuster les
partitions sur un disque dur différent, ou sur le même, mais avec une géométrie
différente, ou encore d'ajuster la taille des partitions sur le même disque dur.
Une interface graphique serait certainement une bonne chose. D'un autre côté, le
programme de la FSF parted
semble pouvoir répondre partiellement au besoin. Il redimensionne les partitions
existantes, mais avec certaines restrictions.
make.fdisk
est le seul actuellement à reconnaître certaines partitions FAT, pas toutes.
Ajouter du code à make.fdisk
pour qu'il reconnaisse les autres et écrire les instructions appropriées pour
qu'il les reconstruise dans les fichiers en sortie.
Pour les partitions FAT12 et FAT16, nous ne formatons pas, n'écrivons pas de zéro dans la partition de telle sorte que MS-DOS 6.x les reconnaisse correctement. Reportez-vous aux notes sur fdisk pour une explication du problème.
Faire un script pour mettre les systèmes de fichiers ext2/3 sur disque ZIP.
Traduire ce guide dans d'autres langues.
Déterminer dans quelle mesure loadlin ou des programmes de ce type affectent le processus.
J'ai mentionné le gestionnaire de paquets de (Red Hat Red Hat Package Manager : rpm) de temps en temps. Quelles sont les commandes deb équivalentes ?
Reportez-vous aux notes situées au début de chaque script pour voir le résumé de ce qu'il fait.
Ce script, lancé pendant la sauvegarde, crée des scripts semblables
à make.dev.hda
et
mount.dev.x
,
plus bas, pour que vous les lanciez à la restauration. Il produit
aussi des fichiers de données semblables à dev.hda
, plus bas. Le
nom du script et du fichier de données qui est produit dépend du
périphérique donné en paramètre à ce script. Ce script, lancé à la
restauration, crée les partitions sur le disque dur.
make.fdisk
est appelé par save.metadata
,
plus bas.
outils/Linux-Complete-Backup-and-Recovery-HOWTO/make.fdisk
Ce script est un exemple de la production de make.fdisk
, plus
haut. Il fait appel à des fichiers de données comme dev.hda
, plus bas. Il
crée des partitions et des systèmes de fichiers sur certains d'entre
elles. C'est le premier script lancé à la restauration.
Si vous êtes suffisamment courageux pour éditer dev.hda
(voir plus
haut), pour, disons, ajouter une nouvelle partition, il se peut que
vous deviez éditer ce script.
Si vous voulez que make.dev.hda vérifie les secteurs défectueux quand il installe un système de fichiers sur les partitions, saisissez en ligne de commande l'option "-c".
outils/Linux-Complete-Backup-and-Recovery-HOWTO/make.dev.hda
Ce script est un exemple de la production de make.fdisk
, plus haut.
Il crée des points de montage et monte les partitions, préparant le
système de fichiers cible à la restauration des fichiers. C'est le
second script lancé à la restauration.
Si vous êtes suffisamment courageux pour éditer dev.hda
(voir plus haut),
pour, disons, ajouter une nouvelle partition, il se peut que vous deviez
éditer ce script.
outils/Linux-Complete-Backup-and-Recovery-HOWTO/mount.dev.hda
Ce fichier de données est utilisé au moment de la restauration. Il
est utilisé par fdisk et est alimenté par make.dev.hda
. Il
est produit pendant la sauvegarde par make.fdisk
. Ceux
qui connaissent bien fdisk reconnaîtront que
chaque ligne est une commande ou une valeur de
fdisk, tel qu'un numéro de cylindre. Donc, il est
possible de changer les tailles des partitions et d'ajouter de
nouvelles partitions en éditant ce fichier. C'est pourquoi la
pénultième commande est v, qui vérifiera la table
des partitions avant qu'elle soit écrite.
outils/Linux-Complete-Backup-and-Recovery-HOWTO/dev.hda
C'est le premier script lancé dans le processus de sauvegarde. Il
appelle make.fdisk
, plus haut.
Si vous devez sauvegarder un disque dur SCSI ou plusieurs disques durs,
faites de sorte que l'appel à make.fdisk
soit
effectué de façon correcte.
outils/Linux-Complete-Backup-and-Recovery-HOWTO/save.metadata
Ce script restaure les métadonnées du disque ZIP à la première étape de la restauration.
outils/Linux-Complete-Backup-and-Recovery-HOWTO/restore.metadata
Ce script effectue complètement la première étape de la restauration sans intervention humaine.
Si vous désirez vérifier les secteurs défectueux pendant la création des systèmes de fichiers des partitions, utilisez l'option de ligne de commande « -c ».
outils/Linux-Complete-Backup-and-Recovery-HOWTO/first.stage
Ces scripts sont lancés sur l'ordinateur à sauvegarder ou restaurer.
Ce script effectue une sauvegarde vers un autre ordinateur via un montage NFS. Vous pouvez l'adapter pour effectuer vos sauvegardes vers une bande ou d'autres supports.
outils/Linux-Complete-Backup-and-Recovery-HOWTO/back.up.all
Ce script fait exactement la même chose que back.up.all
mais
il utilise ssh à la place de nfs.
outils/Linux-Complete-Backup-and-Recovery-HOWTO/back.up.all.ssh
Vous utiliserez ce script de restauration si votre sauvegarde a été
effectuée avec back.up.all
.
outils/Linux-Complete-Backup-and-Recovery-HOWTO/restore.all
Vous utiliserez ce script de restauration si votre sauvegarde a été
effectuée avec back.up.all.ssh
.
outils/Linux-Complete-Backup-and-Recovery-HOWTO/restore.all.ssh
Les scripts ssh décrits ci-dessus sont susceptibles de poser un problème
de sécurité. Si vous les lancez derrière un pare-feu, le pare-feu doit
permettre à ssh d'accéder au serveur de sauvegarde. Dans ce cas, il se
peut qu'un pirate intelligent soit aussi capable de pirater le serveur
de sauvegarde. Il serait plus sûr d'exécuter les scripts de sauvegarde
et de restauration sur le serveur de sauvegarde, et de laisser le
serveur de sauvegarde accéder au pare-feu. Ces scripts sont conçus pour
fonctionner ainsi. Renommez-les en get.x
et en
restore.x
où x
est le nom de
l'ordinateur cible. Éditez-les (la variable $target
d'initialisation définissant la cible) pour qu'ils utilisent le nom
d'hôte de l'ordinateur cible, ou réécrivez-les pour qu'ils utilisent un
argument de ligne de commande.
Ces scripts effectuent complètement la sauvegarde et la restauration
de la cible, et pas uniquement la première étape de la sauvegarde et
de la restauration. Remarquez aussi que
get.tester
sauvegarde aussi le disque ZIP, au
cas où vous auriez besoin de remplacer un disque ZIP défectueux.
J'utilise couramment ces scripts.
Dans le désordre. Il y a des points que vous avez peut-être envie d'approfondir. Une présence dans cette liste ne doit pas être comprise comme une approbation. En fait, bien souvent, je n'ai pas utilisé le produit et ne peux pas le commenter.
W. Curtis Preston et son excellent Unix Backup & Recovery. Voici le livre qui m'a fait démarrer ce travail de restauration intégrale de systèmes. Je le recommande chaleureusement ; lire mon bilan.
Une vieille (datant de 2000) liste de petites distributions Linux.
tomsrtbt, « l'essentiel de Linux sur une disquette. » Tom est aussi lié à d'autres petites distributions.
Le projet de documentation Linux. En particulier, jetez un coup d'œil à « LILO, Linux Crash Rescue HOW-TO ».
Le programme de la Free Software Foundation parted
pour éditer (agrandir, diminuer, déplacer) les partitions.
QtParted semble faire la même chose mais avec une interface graphique.
Partition Image pour les sauvegardes des partitions.
De sa page eb : « Partition Image est un utilitaire Linux/UNIX qui sauvegarde des partitions d'un grand nombre de formats (voir plus bas) dans un fichier image. Le fichier image peut être comprimé au format GZIP/BZIP2 pour économiser de l'espace, et être découpé en plusieurs fichiers destinés à être copiés sur des supports amovibles (des disques ZIP par exemple) La partition peut être sauvegardée sur le réseau depuis la version 0.6.0. »
Bacula est un produit de sauvegarde sous licence GPL comprenant du code pour effectuer une restauration intégrale de système, qui a été inspiré en partie par ce guide pratique.
« g4u ghost pour unix ('ghost for unix') est une disquette/CDROM de démarrage basée sur NetBSD qui permet de cloner facilement des disques durs de PC devant être déployés via FTP avec une configuration commune sur un certain nombre de PC. La disquette (ou le CDROM) a deux fonctions. La première est de transférer l'image comprimée d'un disque dur local vers un serveur FTP. L'autre est de restaurer cette image par FTP, la décompresser et la restaurer sur un disque; la configuration réseau est obtenu par DHCP. Le disque dur étant traité comme une image, n'importe quel système d'exploitation ou de fichiers peut être déployé à l'aide de g4u. »
« Nous présentons Frisbee, qui est un système destiné à sauvegarder, transférer et installer les images de disques entiers, avec comme objectifs d'être rapide et extensible dans un environnement de réseau local. Techniquement, Frisbee utilise une méthode particulière de compression qui tient compte des systèmes de fichiers, un protocole maison de diffusion sélective de niveau application et un découpage de trames flexible de niveau application. De cette conception, il en résulte un système capable de distribuer rapidement et de façon fiable l'image d'un disque à de nombreux clients simultanés. Par exemple, Frisbee est capable d'écrire un total de 50 giga-octets de données sur 80 disques en 34 secondes, ceci sur des PC standards. Nous décrivons la conception et la mise en œuvre de Frisbee, examinons les décisions importantes de conception et évaluons ses performances. »
Il y a un certain nombre de distributions disponibles sous forme de clés USB. Rendez-vous sur le site de DistroWatch pour plus de détails.
Kits de secours basées sur CDROM. Ceci n'est pas une liste exhaustive. Si vous en connaissez une (ou du moins qui prétend en être une), faites-le moi savoir. Vous trouverez des informations plus récentes sur DistroWatch.
Le Mondo de Hugo Rabson « ... crée un ou plusieurs CDROM (ou disquettes + bandes) amorçables de secours contenant tout ou partie de votre système de fichiers. En cas de perte catastrophique de données, vous pourrez restaurer intégralement. »
Le kit de récupération après une panne irrécupérable (Crash Recovery Kit for Linux)
« Récupération de système avec Knoppix (System recovery with Knoppix) » est une bonne introduction à la récupération de système en général et dispose de liens Knoppixutiles.
« Cool Linux CD est une version de Linux sur CDROM. Il est basé sur le noyau 2.4 et on y trouve des logiciels libres et de démonstration. »
SystemRescueCd « est un système linux monté sur un CDROM amorçable, destiné à réparer votre système et vos données après une panne irrécupérable. Il a aussi pour but de faciliter les tâches d'administration de votre ordinateur, telles que créer et éditer les partitions du disque dur. Il contient un bon nombre d'utilitaires système (parted, partimage, fstools, ...) et basiques (éditeurs, midnight commander, outils réseau). Il a pour objectif d'être facile à utiliser : démarrez simplement avec le CDROM et vous pourrez tout faire. Son noyau supporte les principaux systèmes de fichiers (ext2/ext3, reiserfs, xfs, jfs, vfat, ntfs, iso9660) et réseaux (samba et nfs). »
Syslinux crée le code de démarrage pour des images de disquettes, de CDROM et de PXE (Environnement de pré-exécution) Intel. Il ne dépend pas d'une image de disquette. Vous pourrez créer vos propres CDROM à l'aide de certains outils, tels que tomsrtbt.
Au cas où voudriez vous débrouiller tout seul : « Linux Live est un ensemble de scripts bash qui vous permet de créer votre propre LiveCD à partir de n'importe quelle distribution Linux. Installez simplement votre distribution favorite, enlevez tous les fichiers superflus (les pages de manuel, par exemple, et tous les autres fichiers que vous n'estimez pas importants). »
« Le CDROM PPART vous permet de générer un CD amorçable de récupération de système à partir de disques durs précédemment sauvegardés. »
Timo's Rescue CD Set (Le CD de secours de Timo) : « Cette boîte à outils constitue mon approche pour générer facilement un CD amorçable de sauvegarde de système, qui peut aisément être adapté à vos besoins. Le projet est en train de se transformer en une distribution "debian sur CDROM", ce qui fait qu'il n'est pas seulement utilisable comme CD de secours mais que l'on peut aussi installer une debian complète sur le CD. »
La liste des distributions basées sur CDROM comprend plus de distributions basées sur CDROM.
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Examples of suitable formats for Transparent copies include plain ASCII without markup, Texinfo input format, LaTeX input format, SGML or XML using a publicly available DTD, and standard-conforming simple HTML designed for human modification. Opaque formats include PostScript, PDF, proprietary formats that can be read and edited only by proprietary word processors, SGML or XML for which the DTD and/or processing tools are not generally available, and the machine-generated HTML produced by some word processors for output purposes only.
The "Title Page" means, for a printed book, the title page itself, plus such following pages as are needed to hold, legibly, the material this License requires to appear in the title page. For works in formats which do not have any title page as such, "Title Page" means the text near the most prominent appearance of the work's title, preceding the beginning of the body of the text.
You may copy and distribute the Document in any medium, either commercially or noncommercially, provided that this License, the copyright notices, and the license notice saying this License applies to the Document are reproduced in all copies, and that you add no other conditions whatsoever to those of this License. You may not use technical measures to obstruct or control the reading or further copying of the copies you make or distribute. However, you may accept compensation in exchange for copies. If you distribute a large enough number of copies you must also follow the conditions in section 3.
You may also lend copies, under the same conditions stated above, and you may publicly display copies.
If you publish printed copies of the Document numbering more than 100, and the Document's license notice requires Cover Texts, you must enclose the copies in covers that carry, clearly and legibly, all these Cover Texts: Front-Cover Texts on the front cover, and Back-Cover Texts on the back cover. Both covers must also clearly and legibly identify you as the publisher of these copies. The front cover must present the full title with all words of the title equally prominent and visible. You may add other material on the covers in addition. Copying with changes limited to the covers, as long as they preserve the title of the Document and satisfy these conditions, can be treated as verbatim copying in other respects.
If the required texts for either cover are too voluminous to fit legibly, you should put the first ones listed (as many as fit reasonably) on the actual cover, and continue the rest onto adjacent pages.
If you publish or distribute Opaque copies of the Document numbering more than 100, you must either include a machine-readable Transparent copy along with each Opaque copy, or state in or with each Opaque copy a publicly-accessible computer-network location containing a complete Transparent copy of the Document, free of added material, which the general network-using public has access to download anonymously at no charge using public-standard network protocols. If you use the latter option, you must take reasonably prudent steps, when you begin distribution of Opaque copies in quantity, to ensure that this Transparent copy will remain thus accessible at the stated location until at least one year after the last time you distribute an Opaque copy (directly or through your agents or retailers) of that edition to the public.
It is requested, but not required, that you contact the authors of the Document well before redistributing any large number of copies, to give them a chance to provide you with an updated version of the Document.
You may copy and distribute a Modified Version of the Document under the conditions of sections 2 and 3 above, provided that you release the Modified Version under precisely this License, with the Modified Version filling the role of the Document, thus licensing distribution and modification of the Modified Version to whoever possesses a copy of it. In addition, you must do these things in the Modified Version:
Use in the Title Page (and on the covers, if any) a title distinct from that of the Document, and from those of previous versions (which should, if there were any, be listed in the History section of the Document). You may use the same title as a previous version if the original publisher of that version gives permission.
List on the Title Page, as authors, one or more persons or entities responsible for authorship of the modifications in the Modified Version, together with at least five of the principal authors of the Document (all of its principal authors, if it has less than five).
State on the Title page the name of the publisher of the Modified Version, as the publisher.
Preserve all the copyright notices of the Document.
Add an appropriate copyright notice for your modifications adjacent to the other copyright notices.
Include, immediately after the copyright notices, a license notice giving the public permission to use the Modified Version under the terms of this License, in the form shown in the Addendum below.
Preserve in that license notice the full lists of Invariant Sections and required Cover Texts given in the Document's license notice.
Include an unaltered copy of this License.
Preserve the section entitled "History", and its title, and add to it an item stating at least the title, year, new authors, and publisher of the Modified Version as given on the Title Page. If there is no section entitled "History" in the Document, create one stating the title, year, authors, and publisher of the Document as given on its Title Page, then add an item describing the Modified Version as stated in the previous sentence.
Preserve the network location, if any, given in the Document for public access to a Transparent copy of the Document, and likewise the network locations given in the Document for previous versions it was based on. These may be placed in the "History" section. You may omit a network location for a work that was published at least four years before the Document itself, or if the original publisher of the version it refers to gives permission.
In any section entitled "Acknowledgements" or "Dedications", preserve the section's title, and preserve in the section all the substance and tone of each of the contributor acknowledgements and/or dedications given therein.
Preserve all the Invariant Sections of the Document, unaltered in their text and in their titles. Section numbers or the equivalent are not considered part of the section titles.
Delete any section entitled "Endorsements". Such a section may not be included in the Modified Version.
Do not retitle any existing section as "Endorsements" or to conflict in title with any Invariant Section.
If the Modified Version includes new front-matter sections or appendices that qualify as Secondary Sections and contain no material copied from the Document, you may at your option designate some or all of these sections as invariant. To do this, add their titles to the list of Invariant Sections in the Modified Version's license notice. These titles must be distinct from any other section titles.
You may add a section entitled "Endorsements", provided it contains nothing but endorsements of your Modified Version by various parties--for example, statements of peer review or that the text has been approved by an organization as the authoritative definition of a standard.
You may add a passage of up to five words as a Front-Cover Text, and a passage of up to 25 words as a Back-Cover Text, to the end of the list of Cover Texts in the Modified Version. Only one passage of Front-Cover Text and one of Back-Cover Text may be added by (or through arrangements made by) any one entity. If the Document already includes a cover text for the same cover, previously added by you or by arrangement made by the same entity you are acting on behalf of, you may not add another; but you may replace the old one, on explicit permission from the previous publisher that added the old one.
The author(s) and publisher(s) of the Document do not by this License give permission to use their names for publicity for or to assert or imply endorsement of any Modified Version.
You may combine the Document with other documents released under this License, under the terms defined in section 4 above for modified versions, provided that you include in the combination all of the Invariant Sections of all of the original documents, unmodified, and list them all as Invariant Sections of your combined work in its license notice.
The combined work need only contain one copy of this License, and multiple identical Invariant Sections may be replaced with a single copy. If there are multiple Invariant Sections with the same name but different contents, make the title of each such section unique by adding at the end of it, in parentheses, the name of the original author or publisher of that section if known, or else a unique number. Make the same adjustment to the section titles in the list of Invariant Sections in the license notice of the combined work.
In the combination, you must combine any sections entitled "History" in the various original documents, forming one section entitled "History"; likewise combine any sections entitled "Acknowledgements", and any sections entitled "Dedications". You must delete all sections entitled "Endorsements."
You may make a collection consisting of the Document and other documents released under this License, and replace the individual copies of this License in the various documents with a single copy that is included in the collection, provided that you follow the rules of this License for verbatim copying of each of the documents in all other respects.
You may extract a single document from such a collection, and distribute it individually under this License, provided you insert a copy of this License into the extracted document, and follow this License in all other respects regarding verbatim copying of that document.
A compilation of the Document or its derivatives with other separate and independent documents or works, in or on a volume of a storage or distribution medium, does not as a whole count as a Modified Version of the Document, provided no compilation copyright is claimed for the compilation. Such a compilation is called an "aggregate", and this License does not apply to the other self-contained works thus compiled with the Document, on account of their being thus compiled, if they are not themselves derivative works of the Document.
If the Cover Text requirement of section 3 is applicable to these copies of the Document, then if the Document is less than one quarter of the entire aggregate, the Document's Cover Texts may be placed on covers that surround only the Document within the aggregate. Otherwise they must appear on covers around the whole aggregate.
Translation is considered a kind of modification, so you may distribute translations of the Document under the terms of section 4. Replacing Invariant Sections with translations requires special permission from their copyright holders, but you may include translations of some or all Invariant Sections in addition to the original versions of these Invariant Sections. You may include a translation of this License provided that you also include the original English version of this License. In case of a disagreement between the translation and the original English version of this License, the original English version will prevail.
You may not copy, modify, sublicense, or distribute the Document except as expressly provided for under this License. Any other attempt to copy, modify, sublicense or distribute the Document is void, and will automatically terminate your rights under this License. However, parties who have received copies, or rights, from you under this License will not have their licenses terminated so long as such parties remain in full compliance.
The Free Software Foundation may publish new, revised versions of the GNU Free Documentation License from time to time. Such new versions will be similar in spirit to the present version, but may differ in detail to address new problems or concerns. See http://www.gnu.org/copyleft/ .
Each version of the License is given a distinguishing version number. If the Document specifies that a particular numbered version of this License "or any later version" applies to it, you have the option of following the terms and conditions either of that specified version or of any later version that has been published (not as a draft) by the Free Software Foundation. If the Document does not specify a version number of this License, you may choose any version ever published (not as a draft) by the Free Software Foundation.
To use this License in a document you have written, include a copy of the License in the document and put the following copyright and license notices just after the title page:
Copyright (c) YEAR YOUR NAME. Permission is granted to copy, distribute and/or modify this document under the terms of the GNU Free Documentation License, Version 1.1 or any later version published by the Free Software Foundation; with the Invariant Sections being LIST THEIR TITLES, with the Front-Cover Texts being LIST, and with the Back-Cover Texts being LIST. A copy of the license is included in the section entitled "GNU Free Documentation License".
If you have no Invariant Sections, write "with no Invariant Sections" instead of saying which ones are invariant. If you have no Front-Cover Texts, write "no Front-Cover Texts" instead of "Front-Cover Texts being LIST"; likewise for Back-Cover Texts.
If your document contains nontrivial examples of program code, we recommend releasing these examples in parallel under your choice of free software license, such as the GNU General Public License, to permit their use in free software.
[1] Je fais ressortir copie parce que mkisofs détruira le fichier dans le répertoire où il fabrique l'image ISO.